Psychiatric Stigma: Two Studies of Behaviour When the Chips are Down

Ever since the research of Goffman (1961) the lot of the former mental patient has been of special import. Unfortunately, several aftereffects of mental hospitalization may occur, in which the disposition of the general public toward the ex-patient may be prejudiced, and, possibly, discriminatory. Except for that of Farina and colleagues, relatively little research has studied these aftereffects. Using a method developed by Page (1977), the present studies investigated a unique aspect of these, namely, problems experienced in obtaining accommodation. Persons identified as former patients experienced significantly greater difficulty in obtaining accommodation that when no such information was given. Comparisons are made with other types of stigma, involving speech impediments, and results are discussed in light of recent work by Farina and others.

Depuis la recherche de Goffman (1961), on a accordé une importance spéciale au sort de l'ex-patient psychiatrique. Après l'hospitalisation, plusieurs effets peuvent malheureusement survenir dont une attitude de la population à l'égard de l'ex-patient se traduisant par des préjugés, et possiblement, par de la discrimination. A part Farina et ses collaborateurs, relativement peu de chercheurs ont étudié les effets post-hospitalisation, tilisant une méthode développée par Page (1977), les études présentées ici explorent un aspect unique de ces effets, notamment les problèmes rencontrés pour obtenir certains services (restauration, logement, etc). Les personnes qui son identifiées comme anciens patients psychiatriques ont significativement plus de difficultés à obtenir ces services que lorsque cette information n'est pas donnée. On fait la comparaison avec d'autres types de traces (“stigma”) impliquant les difficultés de langage et on discute des résultats à la lumière d'un ouvrage récent de Farina et ses collaborateurs.