An Evaluation of An Anti-Bullying Intervention in Toronto Schools

This paper describes the development of the Toronto Anti-Bullying Intervention. The effectiveness of the Anti-Bullying Intervention was examined with quantitative and qualitative data gathered before and 18 months after its implementation.

The results of this research confirm that bullying continues to be a pervasive problem in Toronto schools. There were some improvements in students' reports of bullying as assessed at the individual, peer, and school levels. Over the first 18 months of the program, children reported increased teacher interventions to stop bullying. More bullies indicated that teachers had talked to them, but there were no differences in the proportion of bullies or victims who had discussed their problems with parents. Fewer children indicated that they could join in a bullying episode following the intervention. There was an increase in the number of children who admitted to bullying, but a decrease in the number of children who had been victimized during the past five days. These inconsistent results raise several issues related to implementing the Anti-Bullying Intervention.

Cet article rapporte l'élaboration du Toronto Anti-Bullying Intervention. L'fficacité de ce programme a été vériée è partir de données quantitatives et qualitatives recucillies avant le programme et 18 mois après le début de son implantation.

Les résultats de cette recherche confirment que l'intimidation physique demeure un problème répandu dans les écoles de Toronto. Quelques améliorations ont été constatées d'aprés le rapport des élèves sur l'intimidation physique tel qu'évalué au plan individuel, des pairs, et de l'école. Pendant ces primiers 18 mois d'implantation du programme, les enfants ont rapporté une augmentation des interventions de l'enseignant pour faire cesser les intimidations. Un nombre plus élevé d'enfants agressifs ont indiqué que les enseignants leur ont parlé du problème, mais aucune difference n'a été constatée entre la proportion d'élèves agressifs et celle d'élèves victimes qui en ont parlé è leurs parents. Aprés le programme, un nombre moins élevé d'enfants ont indiqué qu'ils pourraient s'impliquer dans un épisode d'intimidation physique. Enfin, un nombre plus élevé d'enfants ont admis avoir infligé de tels actes d'intimidation, mais un nombre moins élevé d'enfants ont déclaré en avoir été victimes lorsque mesuré lors des cinq derniers jours. Ces résultats contradictoires soulévent plusieurs questions concernant l'implantation du programme Toronto Anti-Bullying Intervention.